2001 - à nous
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le 27/01 : Cette fois, c'est à nous ou presque, puisque la chape du séjour n'est pas encore faite. C'est promis pour aujourd'hui et nous comptons bien faire en même temps, et avec les conseils des ouvriers, celle du garage.

A 18 h nous sommes très fier de notre chape du garage, mais nous n'avons vu personne pour celle du séjour... Et le chef de chantier est en W.E. nous lui laissons des messages de sympathie sur la messagerie.

Le 28/01 Nous commençons à apprêter les murs et plafonds de l'étage. Beaucoup plus long que nous pensions mais ça change de look.

le 29/01 : Nouvel appel au chef de chantier qui est surpris en apprenant la défection des maçons. Il nous en trouve un autre immédiatement (surprise) et l'après midi il est au boulot.

Son travail est excellent. Il fait en 1 heure l'équivalent de ce que nous avions fait samedi en 5  :-))  . Devant la qualité de la chape, nous lui confierons aussitôt le carrelage du RDC car nous risquons d'être juste pour aménager avant fin février.

Nous n'avons ni le consuel, ni le recommandé

le 30/01 : Ragréage de la salle de bain. C'était mon premier et finalement c'est assez facile. Poursuite des enduits.

Nous n'avons ni le consuel, ni le recommandé

le 31/01 : Je laisse madame faire les enduits. Pendant ce temps là, je commence avec une camionnette de location la tournée des magasins, copains et relations pour récupérer tout ce qui est commandé et stocké depuis... bien longtemps

Nous n'avons ni le consuel, ni le recommandé

Le 01/01 : Le maçon est là et attaque le carrelage. A vous dégoûter de bricoler. Pas un croisillon pour les écartements, pas une taloche pour les niveaux, tout à vue avec juste sa règle. Et je peux vous dire que c'est parfait. Nous pouvons regarder dans tous les sens l'alignement est rigoureux, j'en tombe sur le c.l comme c'est beau et rapide.

En attendant, nous posons le disjoncteur, louons un perforateur pour sortir les fourreaux (LE CONSTRUCTEUR devait le faire le 29/01) et nous poursuivons les enduits et peintures.

Et nous envoyons le recommandé pour compléter la liste des réserves et surtout pour marquer celles qui avaient été "oubliées" sur le PV (nous avions 8 jours pour le faire). Nous en profitons pour annoncer qu'en l'absence de consuel qu'on devait nous remettre à la livraison, nous laisserons courir les pénalités puisque nous ne pouvons rien faire sans groupe électrogène ou sans quémander du jus à l'aide d'une rallonge chez les voisins.

Nous n'avons ni le consuel, ni le recommandé

Le 02/02 : Deuxième tournée avec la camionnette pour les restants de commande, madame poursuit les peintures.

Le maçon fini le carrelage, du travail tip-top.

Nous n'avons ni le consuel, ni le recommandé

Le 03/02 : Pose du ballon d'eau chaude et raccordements des alimentations d'eau. Nous ajoutons 2 circuits, un pour une machine à laver dans le garage, et un pour un point d'eau extérieur. Nous en profitons pour tester la connectique PER puisqu'il y en avait quelques mètres de tuyauterie dans les restes de chantier : vraiment facile à mettre en oeuvre. Pour la tenue dans le temps, on verra ça.

Nous n'avons ni le consuel, ni le recommandé

Le 04/02 : On attaque la salle de bain. Ce ne sera pas le plus facile puisque nous avons choisi d'entourer la baignoire d'une rive carrelée. Le soir, les carreaux de plâtre sont taillés et les raccordements réalisés.

Le 05/02 : Visite de l'électricien qui vient poser le programmateur de chauffage et vérifier quelques points. J'en profite pour lui poser la question de la terre qui ne passe pas la dalle. Il m'explique qu'ils creusent en biais jusqu'à l'extérieur ou est implanté le piquet de terre. La valeur est est 38 ohm ce qui est tout à fait correct.

Nous n'avons ni le consuel, ni le recommandé

Le 06/02 : Visite du consuel et contrôle des normes vivrelec. Malgré un rapport déjà signé, le consuel fait une visite de vérification effective. Pourquoi pas? Au moins, je serai sûr.

Le consuel ne trouve rien à redire, c'est bien. Pour les normes vivrelec, peu de remarques

Isolation des circuits d'eau chaude dans le garage,
Isolation de la poutre du garage (pont thermique avec la chambre qui est au dessus
Velux de la chambre pas au normes (pas d'entrée d'air pour VMC). 

Nous avons le consuel mais pas le recommandé Un coup de fil immédiat à EDF, et rendez vous est pris pour la pose du compteur vendredi. Enfin nous pourrons assainir tout ça et travailler normalement avec l'outillage électrique.

Pour le recommandé, je demande le récépissé au chef de chantier pour aller réclamer à la poste. Pas normal un recommandé qui se perd. Son air gêné confirme ce que nous savions, il n'y a jamais eu de recommandé. Il nous servira l'excuse éternelle : "j'avais dit à la secrétaire de le faire mais je ne suis pas sûr..."

Je vais donc peut-être faire la mauvaise langue, mais ça ressemble bien à une tentative du genre les 5% contre les clés...

nous : Mais les réserves...

eux : Pas d'argent, pas de clés

nous : Mais c'est obligatoire lors de la remise

eux : quelle remise, vous avez le recommandé comme quoi c'est la remise.

nous : ben, non.

eux : donc c'est les clés si vous payez, sinon on remet à plus tard...

Le grain de sable dans le plan, ça été l'huissier. Nous nous félicitons de l'avoir fait venir. Ces 1500 Frs là, nous ne les regretterons pas.

Du 07 au 10/02 : Pendant que madame continue les enduits et les peintures, monsieur attaque l'aménagement de la salle de bain. Pas de difficultés insurmontables. Mais il manque toujours un petit bout de ficelle pour faire le bon raccordement. Il vaut mieux avoir une quincaillerie pas trop loin ou être très prévoyant et mesurer tous les diamètres avant de faire les plans précis.

Le 09/02 : L'agent EDF arrive pour poser l'électricité. Après un rapide tour de l'installation, il me déclare que "c'est pas normal d'avoir prévu la pose du compteur à l'extérieur, puisque c'est un compteur électronique, il se pose sur la platine à coté du disjoncteur". C'est à dire tout le contraire que ce que nous avait dit au téléphone l'agent EDF qui était sensé venir sur place avant que nous n'achetions  et commencions l'installation du raccordement (que c'était un compteur mécanique et qu'il se posait à l'extérieur).

L'angoisse de le voir repartir sur le champ a du se voir sur ma figure car il me dit qu'il va s'arranger. OOOOOUUUUUUFFFFFFFF. Il pose le compteur dans le coffret extérieur quand même. A 10 heure, que la lumière soit, et la lumière fut. On va pouvoir se chauffer un peu et enfin dépasser les horaires syndicaux imposés par la nuit tombante.

Une équipe mandatée par LE CONSTRUCTEUR aussi pour refaire la porte de communication entre garage et cuisine et pour les retouches de plâtrerie. La porte entre dans ses gonds (voir comment dans la galerie des malfaçons 3). Coté plâtrerie, il ne font pas les bandes de finition, car "ils ne savent pas faire". Et ils n'ont pas les poignées de porte.

Le 11/02 : fin d'installation de la salle de bain. Les vasques nous ont donné beaucoup de mal. Il faut dire que le plan est constitué d'une chute du plan de travail de la cuisine. Pour ma petite scie sauteuse, 4 cm d'épaisseur c'est dur. Sinon, comme d'habitude, il manque quelques adaptations pour raccorder arrivées et évacuations. Mais nous sommes maintenant habitué.

La salle de bain est désormais "prête à carreler"

Le 12/02 : Avant, il faut tout de même démonter le WC que nous avions installé en provisoire (c'est plus pratique que le jardin, surtout en résidence) et  en monter un au rez-de-chaussée. Ce dernier nous fera de la résistance. Avec la fatigue je ne m'aperçois pas que contrairement à toute le maison, il ont mis du tuyau de 12 au lieu de 14. Même en serrant bien le manchon, à la mise en eau, le raccordement a joué au bouchon de champagne et nous avons notre premier (petit) dégât des eaux.

Après 3 heures de lutte, je teste l'installation et nous démarrons enfin le carrelage du sol de la salle de bain.

A 22 heures, il est terminé. Et je ne suis pas content de moi. Malgré le ragréage, il restait des "bosses" et mon peigne à colle n'a pas les dents assez longues pour niveler. On fera avec, mais c'est pas terrible. Il faudra faire les murs tellement beaux que personne ne songe à regarder par terre. Je profite d'un fond de colle pour carreler le petit bout de garage qui supportera le ballon d'eau chaude.

Le 13/02 : On sent qu'on y arrivera pas pour la fin du mois. Le moral en prend un petit coup. Et toujours aucune nouvelle de LE CONSTRUCTEUR pour le tas d'ordure devant la maison, les poignées de porte les finitions de plâtrerie.

En plus les traces de moisi sur les bâtis ne partent pas malgré un nettoyage sévère à l'eau de javel. Même après un ponçage qui ne nous fait pas gagner du temps, c'est encore visible et ça ressort quand on y met une couche de lasure. "C'est pas grave, juste un petit nettoyage à l'eau de javel" qu'ils disaient. Au titre de la garantie, faut-il faire tout casser? Nous commençons à avoir un peu la haine.

Nous nous apercevons également qu'une fenêtre commence à tomber en morceaux. La haine je vous dis.

Le 14/02 : Le renfort inattendu du voisinage nous redonne du courage. Deux voisins viennent en effet proposer leurs services. Et ils ne sont pas manchots. Dans la journée, le parquet de  trois chambres est posé.

Le ballon d'eau chaude est raccordé et en place. Nous le mettons en eau pour nous apercevoir lorsqu'il est plein...qu'il y a une fuite à l'arrivée d'eau froide. Voilà 300 litres à mettre dans le caniveau. Une deuxième tentative se solde par le même défaut !!! On verra demain.

du 15/02 au 18/02 : Ces quatre jours seront consacré au carrelage des murs, et du tour de la baignoire. Et je me suis appliqué, comme promis, pour que personne ne regarde le sol.

Il y a qu'autour de la fenêtre que j'ai eu du mal. J'avais pourtant pris mes repères au niveau de maçon et tout, et tout, et j'ai quand même un écart de presque un centimètre d'un coté à l'autre de la fenêtre. Je re-vérifie mes niveaux, tout à l'air correct, je ne comprend pas. Et soudain, l'idée que j'aurais du avoir dès le départ, je pose le niveau sur la fenêtre. J'aurais du m'en douter, c'est elle qui n'est pas droite. Finalement, avec l'habitude ça ne nous met même plus en colère.

du 19 au 25/02 : Il a fallu reprendre le boulot. Il n'y aura donc plus que les soirées et les week-end pour finir. Cette semaine sera donc consacrée au plancher de la dernière chambre et aux plinthes dans tout l'étage

du 26/02 au 07/02 : Désolé, entre le boulot  et les travaux dans la maison, nous n'avons pas eu assez de 24 heures par jour pour mettre à jour le site. Précisons tout de même que nous avons du prendre quinze jours de plus que prévu pour que ce soit vraiment habitable. La cuisine nous a donné beaucoup de mal. Les meubles provenaient de deux lots différents et n'avaient pas tous le même système de fixation.

Le 09/03 : Le déménagement à l'aide d'un véhicule de location débute et le 10 au soir, au milieu des cartons et des meubles posés n'importe où, nous prenons l'apéro CHEZ NOUS. En compagnie de tous ceux qui nous ont donné la main. Mais quelle sensation messieurs dame.

Le 11/03 : poursuite du déménagement. Le soir, nous profitons que nous avons le camion et du forfait essence et Km pour aller ramener au services techniques de Linas un petit mètre cube du merdier qu'ils ont négligemment oublié sur notre terrain depuis un mois et demi. Nous déposons tout ça par dessus leur grille (photo). Je ne sais pas s'ils vont comprendre.

Le 14/03 : Ils s'étaient pourtant fendu d'une belle lettre en RAR pour nous annoncer qu'ils viendraient lever les dernières réserves aujourd'hui. Personne n'est venu. Mais nous avons tout de même eu un coup de fil pour nous prévenir.

Le 16/03 : Comme c'est sur ma route, je me demande si je ne vais pas passer une nouvelle fois par les services techniques. Je n'ai plus de camion, mais un bon bocal de grava et plâtre mélangé sur le bureau du patron devrait faire bon effet.

Le 19/03 : Je passe effectivement aux services techniques pour apprendre que notre conducteur de travaux a démissionné (SIC). Nous ne sommes donc pas prêt de voir lever les réserves.

Le 26/03 : Nouveau passage aux services techniques, personne ne peut me dire quel conducteur de travaux terminera ce qui reste à faire. Cette fois-ci je pense qu'ils vont y avoir droit à leur cadeau.

Le 29/03 : Je décide de passer à la maison témoin de la ville du bois démonter les serrures des toilettes et de la salle de bain qui nous manque toujours. Finalement, si nous on peut s'en passer deux mois, ils devraient pouvoir le faire aussi.  Arrivé sur les lieux, je m'aperçois qu'aucune porte n'a de poignée, c'est mal parti. Celles des toilettes ne sont pas identiques au nôtres et les serrures n'ont pas le bon sens d'ouverture. Dur, dur, mais tant pis, je décide un petit démontage rien que pour le fun. Je n'ai pas le temps de commencer car je rencontre sur mon chemin M. B........s, directeur commercial (qui se présentera comme ayant créé M.... S....) et M. M.....o. Serais-je en présence du patron de cette filiale?

J'explique ma présence un tournevis à la main et j'ai alors vu deux commerciaux qui paraissaient sincèrement en colère, "car depuis longtemps le centre de Linas leur affirmait que mon dossier était réglé".

Bien sûr, comme si ce site était là que pour les taquiner et dire des gros vilains mensonges. Messieurs de LE CONSTRUCTEURX qui contrôlez  régulièrement ces écrits pour savoir si nous ne dérapons pas, il vous suffit de lire.

Le 03/04 : passage à la maison d'un responsable du service après vente (alors, c'est vrai que ça existe?) avec lequel nous refaisons une fois de plus le tour des réserves.

Le 05/04 : En revenant ce soir, du coin de la rue, je ne reconnais pas la maison, le tas d'ordure à disparu. Nous n'aurons plus à faire le tour du quartier après chaque coup de vent avec notre sac poubelle. Et on va se réconcilier avec les voisins.

Et un représentant m'a apporté les deux serrures qui manquaient, salle de bain et toilettes, les moins utiles comme tout le monde le sait. S'il nous avait proposé de les mettre en place, il se serait aperçu qu'il nous avait livré une serrure pour ouvrant gauche et une pour ouvrant droit alors que nos deux portes sont à ouvrant droit. Peut donc mieux faire. En attendant on se débrouillera.

Le 08/05 : Là, on comprend qu'ils sont débordés. Quand ils nous appellent les jours fériés pour nous donner rendez vous le samedi suivant, on ne peut que se dire que l'esclavage n'est pas loin dans cette entreprise. Mais, bon, on ne va pas refuser. Il me semble quand même que, vu les travaux à reprendre, une demi journée risque de faire juste si Monsieur + est tout seul.

Surtout que s'il arrive à huit heures du mat, il risque de se faire recevoir.

Le 12/05 : Nous avons eu effectivement le plaisir d'avoir une paire d'ouvriers pour lever des réserves. J'en ferai un bref Bilan :

La poutre du garage a été reprise pour la troisième fois et enfin isolée (puisque c'est l'été).

le placo du plafond devait être re-fixé, il est désormais cassé
la porte du garage devait être repeinte, elle a eu droit à un coup de peinture sans même que la partie rouillée ne soit poncée et j'ai bien relevé sur le pot : peinture glycéro microporeuse pour bois et dérivés. J'en conclue que le métal de ma porte est probablement un dérivé de bois. C'est beau la chimie moderne.

Fin mai (dates incertaines ) : Retour de nos deux ouvriers qui changent le placo cassé et m'explique que le pot de la dernière fois ne correspond pas à la peinture qu'il y a dedans et que c'était bien de la laque anti-rouille. Soit, il n'y a pas lieu de ne pas le croire, mais je guetterai quand même cette peinture.

Courant juin : les choses bougent enfin. L'association est créée et brusquement tous les membres du bureau voient leurs travaux prendre une vraie accélération. Sauf notre secrétaire. Il va falloir prévenir LE CONSTRUCTEUR qu'elle fait partie du bureau elle aussi.

Pour ma part, j'ai le plaisir de voir l'électricien pour le raccordement manquant de l'éclairage extérieur et le déplacement de la prise de la machine à laver, et un maître es PCV pour la reprise des  fenêtres, le changement de toutes leurs poignées et la pose, enfin, des poignées de la porte de service.

Encore un petit effort, et je pourrai clore ce chapitre.

Courant septembre : Je croyais pouvoir mettre une fin à ce chapître, mais je crois que bientôt, j'attaquerai une page 2002. Les malfaçons initiales étaient presque toutes levées, quand nous découvrons :

Que le conduit de cheminée n'est pas conforme (positionnement et écart au feu), nous ne pourrons donc pas brancher le poêle à bois et ma coupe va dormir encore un an dans la forêt.
Une bulle dans le vitrage de la porte-fenêtre du salon.
Que l'eau remonte à nouveau dans le vise sanitaire ce qui nous interdit d'y faire la cave que nous avions projeté d'y installer.

Pour ce dernier point, je reçois une réponse que je vous laisse savourer :

"L'annexe à la notice prévoit que les raccordements et branchements soient à votre charge, il faut donc que vous preniez les mesures adaptées afin d'évacuer l'eau sous votre vide sanitaire, LE CONSTRUCTEUR ne pouvant intervenir sur ce point".

C'est sûr... l'étanchéité d'un pavillon dépend des raccordements et branchements.

Nous sommes au mois d'octobre, et pas encore libéré de cette affaire.

Octobre et novembre se passe et brusquement Monsieur plus du constructeur vient très régulièrement pour lever les réserves. Serait ce l'approche du procès qui décide le constructeur à nous soigner tout particulièrement.

Il est vrai que cela ferait plutôt sale d'arriver à l'audience dix mois après la réception en ayant toujours pas fini le travail qu'il s'était engagé à faire dans le mois qui suivait.

Alors que la, il pourra bien entendu évoquer la mauvaise foi puisque tout est terminé. Je suppose qu'il ne verra pas pourquoi nous nous plaignons.il aura tout de même du mal à régler le problème du conduit de cheminées et des 20 à 30 centimètres d'eau qui stagnent toujours dans nôtre vide sanitaire.

la la suite au prochain numéro et n'oubliez pas notre

            

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