Nous
attendions ou
avions constaté |
Depuis le |
fait le |
Remarque |
Le
premier terrain était invendable |
Début |
X |
Personne ne nous prévient lors de la signature de la promesse de
vente que des hypothèques grèvent ce terrain et que des ennuis sont
probables. Nous ne le saurons que lorsque le notaire refusera de faire
signer l'acte définitif. 6 mois seront perdus sur ce coup là. |
L'implantation
sur le deuxième permis comporte plusieurs erreurs |
X |
X |
Un simple
relevé lors de la visite de terrain aurait du éviter de perdre encore 3
mois. |
Le
début du chantier |
fin
novembre |
25 janvier |
Et dans
quelle condition (voir ci-dessous) |
Une
prise d'otage. L'avant veille du début du travail, présentation
au terrassier :
"Je n'ai pas la place de stocker la terre, si l'évacuation
n'est pas prévue demain (je peux vous la fournir pour 2 fois plus cher
que ce qui est prévu au 3 colonnes) je ne reviens que dans quinze jours" |
X |
X |
Une telle
pratique est totalement déloyale.
Lorsqu'on attend depuis un an le début de sa construction.
Un seul coup de téléphone quelques jours avant nous aurait permis
de consulter d'autres entreprises pour l'évacuation des terres qui était
à notre charge.
Il faudra négocier ferme pour revenir à un prix raisonnable. |
L'aménagement
de l'accès au chantier, obligatoire d'après le chef de chantier, nous
est proposé au prix fort de 3000 F |
X |
X |
Nous
décidons de le réaliser nous-même (800 FF de tout-venant). Et il ne
sera jamais utilisé que comme plate-forme à ciment pour les maçons. Les
camions passeront systématiquement à coté pour décharger. On constate
alors qu'il était vraiment indispensable. |
Les
maçons prévoient l'accès au vide sanitaire par le coté et non par la
trappe dans le garage |
14
février |
X |
Dieu
merci, nous sommes passés sur le chantier la veille du coulage de la
dalle.
Il faudra 4 mois pour que la réservation dans le mur du vide
sanitaire soit bouchée |
La
reprise des évacuations.
L'unique évacuation sort des fondations en dessous du niveau de
l'égout |
18
février |
19 mars |
Mal fait |
La
reprise des évacuations.
Une seule évacuation était installée pour les eaux vannes et les
eaux usées |
début |
16 mai |
Mal fait |
La
reprise des évacuations.
Un secteur est en contrepente, un raccordement est réalisé en sens
inverse du sens d'évacuation. les évacuations des eaux vannes fait deux
coudes horizontaux à 90° |
16 mai |
07 juin |
Mal fait |
La
reprise des évacuations.
deux secteurs sont en contre-pente, un raccordement est réalisé en
sens inverse du sens d'évacuation (voir les photos) |
07
juin |
17
janvier
|
faire et défaire...
|
La
reprise des évacuations.
un secteurs est en contre-pente, |
17
janvier |
31
janvier
|
Le
plombier nous dira qu'aucun tuyau n'était collé !!!!!!
|
Le
chef de chantier, victime d'un accident
du travail est en arrêt maladie.
Il faudra près d'un mois et un siège au services techniques pour en
avoir un nouveau. |
Début
avril |
Fin avril |
Nous
annoncer que le chef de chantier suit notre dossier malgré son accident relève
du gag. Tout le monde sait qu'un chantier peut être contrôlé et
planifié depuis son lit. |
Pendant
3 mois, il ne se passera rien sur le chantier. Les coups de téléphone
les fax et les messages sont sans réponse. Il faudra attendre début mai
pour savoir qu'avec la tempête de décembre il n'y a pas de couvreur
disponible |
28 mars |
22 juin |
On nous
l'aurait dit, on ne se serait posé pas la question tous les jours
|
Début
mai, on nous annonce que la couverture sera faite sous quinzaine.
Elle débutera le 22 juin |
X |
X |
C'est
moralement éprouvant d'aller voir et d'être déçu tous les jours
pendant un mois et demi
|
Le
5 juin on nous annonce que le couvreur est là dans la semaine. Le même
jour, nous téléphonons directement au couvreur qui nous annonce avoir
planifié ce chantier le 22 juin.
Et lui avait raison... |
X |
|
Jolie
planification!!!!!! |
Il manque le chevêtre autour de la cheminée,
cela a bloqué la fin de la couverture |
28 mars |
18 juillet |
C'est
fait  |